poème poisseux
mer abandonnée au port
en guenille irisée
la lumière égratigne
tes couleurs de ruine
je vois ta main qui tangue
dans l'agonie du soir
dans le parfum souillé
des voilures de vent
en guenille irisée
la lumière égratigne
tes couleurs de ruine
je vois ta main qui tangue
dans l'agonie du soir
dans le parfum souillé
des voilures de vent