lovée
on ne s'échappe pas de la nuit de peur tu agrippes mon bras dort ainsi lovée l'amour en plus frisson
Un des plus vieux blogs d'over-blog dans lequel vous trouverez des bouts de mots, des fragments de rêve, des mots infimes. Infiniment infimes comme la poésie. Mais si importants... Une première expérience de poésie hypertextuelle pour une balade entre plus de 600 poèmes pour le plaisir du partage de la poésie. De liens en liens, laissez-vous emmener dans une lecture différente de la poésie.
on ne s'échappe pas de la nuit de peur tu agrippes mon bras dort ainsi lovée l'amour en plus frisson
D'abord s'amouracher. Les amours hachées. L'amour à chanter, puis déchanter voire déjanter. Le premier amour qu'on n'oublie pas. Comme si on oubliait les autres. Les amours d'été, les amours déteints, les amours d'antan. L'amour à la cantonnade. Aimer...
immanque tacite en bouche d'amertume c'est peut être ta peau le remède ad hoc
donnetes paupièreset la nuits'envole désemboîtéede nos corps le dessinde tes courbessur la pageintime
il fait soiesur ta peau la lumièreapprend ton corpscomme un poème et j'achèterais cherton refletau marché des miroirs
accostée dans mes brasta peau enflammetoutes les censuresde mon corps alangui mille caresses à l'affûtvoilace que ta main maniganceen catimini
enlacés tout là haut, leurs silences forgent l'agonie du soir. même la terre a fermé ses paupières. la pénombre manigance une autre poésie. celle de destins embrochés d'un baiser, déjà en ruine à peine décoché. dans leur regard l'étincelle d'errements...
chemins de nos baisersciselésà même la flamme tes promesses de dentelles caracolentdans le matin effeuillé