regard
mon regard sans relief sans doute plein de doutes se construisait son labyrinthe les enfants ne sont pas égaux dans le regard poème repris dans le florilège 2009 des éditions Soc et Foc
Un des plus vieux blogs d'over-blog dans lequel vous trouverez des bouts de mots, des fragments de rêve, des mots infimes. Infiniment infimes comme la poésie. Mais si importants... Une première expérience de poésie hypertextuelle pour une balade entre plus de 600 poèmes pour le plaisir du partage de la poésie. De liens en liens, laissez-vous emmener dans une lecture différente de la poésie.
mon regard sans relief sans doute plein de doutes se construisait son labyrinthe les enfants ne sont pas égaux dans le regard poème repris dans le florilège 2009 des éditions Soc et Foc
des jours et des mers et des nuits ce pas glissé sur le sable des jours et des mers et des nuits l'envie de plus loin au-delà du sel des jours et des mers et des nuits à rêver d'outredunes Poème repris sur le site Quinquabelle
quelques lignes l'absence posée là sur la table "n'oublie pas ton RDV avec la poésie" poème repris dans les n° 190 et 191 de la revue Libelle
il reste encore dans tes cheveux quelques brindilles de nuit -rester dans cette orée- mais je te sais pénombre après la cendre blessée par les brumes il t'a fallu laver les mots avant tout pas leur dédier nouvel horizon se lever n'est pas simple et qu'importe...
les yeux de craie - qu'importe la fenêtre - s'effritent au bleu du temps passé il n'y a plus de pas pour aucun chemin ni de danse pour quelconque lumière la vie est lieu du disparaitre et le dernier éteindra les siens poème repris dans le n°1 de la revue...
la pierre est là par la sueur et par le bruit d'ombre en fuites posée à même le seuil en limite de pas pierre subliminale d'être, le dévouement si près des boues la pierre reste là à offrir lèvre à la porte dans le silence des ronces poème repris dans...
dans un chant de vent l'eau se glisse sous la pierre en chemin inverse il est trop tard pour la brume et l'aigle ne pourrait s'en repaitre mais déjà le lointain trompe la poussière dans l'ombre inlassable des versants endormis pierre du chemin ton langage...
le matin est toujours froid et vide de sa bouche appauvrie il n'est plus de baiser élancements de solitude dans cette vie en ruine douce le vieux chat s'en moque qui endort la sienne enroulé dans le canapé entre ombre et silence en proie aux reflets d'un...
je te vois convoquer les floraisons et nommer chaque pétale s'échappe entre les pierres un signe du soir un éclat de terre cherche ta main Poème repris dans le n°5 de la revue Temporel
ce regard à l'avant-rire quand il n'est besoin de rien dire pour être heureux de cet échange poème sélectionné lors du concours de poésie 2008 de l'association les ADEX cliquer ici