dessin
trait fragile nu de tout calcul pas encore égratigné mille couleurs du vert du soleil et du blanc aussi sans hésiter rien n'est futile et surtout pas l'éclaircie d'un dessin d'enfant oui oui non oui oui oui oui oui non non oui oui oui
Un des plus vieux blogs d'over-blog dans lequel vous trouverez des bouts de mots, des fragments de rêve, des mots infimes. Infiniment infimes comme la poésie. Mais si importants... Une première expérience de poésie hypertextuelle pour une balade entre plus de 600 poèmes pour le plaisir du partage de la poésie. De liens en liens, laissez-vous emmener dans une lecture différente de la poésie.
trait fragile nu de tout calcul pas encore égratigné mille couleurs du vert du soleil et du blanc aussi sans hésiter rien n'est futile et surtout pas l'éclaircie d'un dessin d'enfant oui oui non oui oui oui oui oui non non oui oui oui
mots échappésdu papierouverts à tous lienssur cette toile tendueentre les mondes mots en lignesans lignemots-images etimages-motsmots mouvants et mots en vie la poésie s'emblogue
il y eut un passagemordudans l'humuset l'eau prit ce paspour un lit il y eut un voléchappé de l'automneet la feuilleprit la flaquepour un miroir
écoute la neige dévorer tout ce qui sève bois mort au combat contre ce blanc affamé écoute le pas déchirer l'aube gercée pas mort avant d'être posé dans ce blanc mensonger poème repris sur le site http://www.francopolis.net/
- Ecrire de la poésie c'est répandre l'intime au delà de tout. - La poésie est l'expression artistique de la philosophie, comme la chanson celle de la sociologie. - La page blanche n'est qu'une photo surexposée qu'il faut réencrer pour en percevoir les...
bercée par la brumeet la grâce des chants blancs l'aquarellenous parle d'absence dans une poésied'arc en ciel
Dans l'averse se forge un poème. A faire pousser la mauvaise herbe des jours gaspillés, elle capture des traces de lumière pour en batir des couleurs. Le ciel s'enrubanne ainsi d'un arc en ciel qui étincelle de peur de mourir. Ainsi sont les mots : portés...
baisers de nuit sommes nous l'étoile baisers d'hiver sommes nous la neige mais sommes nous la bouche de ces baisers d'argile
la mort embrasse la chambre d'un baiser de corbeau le silence ment comme un arracheur de sang une ombre de solitude vient me griffer les yeux faut il que chaque route se consume poème traduit en espagnol sur le site http://www.centropoetico.com et publié...
petit déjeuner face à fils à se grignoter du regard nos silences divaguent en tartines de sommeil la radio gémit ses infos en volutes de chocolat se dire que la journée commence bien et jouer avec les dernières miettes de nuit Poème repris dans le n°40...