à l'envers de nos vies
à l'envers de nos vies demeurent des rêves que l'on vient cueillir à portée de mots pour embellir nos jours qui passent
Un des plus vieux blogs d'over-blog dans lequel vous trouverez des bouts de mots, des fragments de rêve, des mots infimes. Infiniment infimes comme la poésie. Mais si importants... Une première expérience de poésie hypertextuelle pour une balade entre plus de 600 poèmes pour le plaisir du partage de la poésie. De liens en liens, laissez-vous emmener dans une lecture différente de la poésie.
à l'envers de nos vies demeurent des rêves que l'on vient cueillir à portée de mots pour embellir nos jours qui passent
ainsi l'orage marque le passage de l'indolence à l'action Photo : P.M. Guilbert
à quoi sert de semer des printemps si les mots en viennent à douter d'eux mêmes
il faut être là à la tombée des mots posés sur le papier comme un arbre couché dans la neige il faut être là pour les ramasser ne pas les laisser s'enfoncer
le vent picore encore les quelques feuilles tombées de fatigue par le refus de la sève il serait inconvenant de briser le murmure de nos pas
courage de l'aurore de vouloir éclairer ce monde malgré toutes les ingratitudes que l'Homme lui fait subir
me baignerdans ton estuaireet sortir de ton corpspour ne plus oublierce frisson offert
on raconte que les aquarelles naissent dans les fontaines mais on raconte aussi que l'eau des fontaines se marie avec les larmes poème repris dans le livre "Les fontaines de Paris" de Marie-Hélène Levadé et Hugues Marcouyau aux éditions "Chapitre douze"...
l'image de ta peauest la bienvenuedans mes cahiers le son de tes motscontinuedans mes pensées
le cielse duvetait de flammes en me laissant présagerquelque étoileà féliciter